Lutte contre l’ensablement


La connaissance de la source qui alimente un ensablement est une donnée naturelle indispensable pour l’orientation des travaux de protection. En connaissant d’où vient le sable, on peut décider des mesures non seulement les mesures de fixation, mais aussi de prévention par des traitements à la source.

Application

  • Combattre l’érosion
  • Lutte contre la désertification
  • Concevoir de nouveaux schémas d’aménagement des plages
  • Préserver les plages
  • Préserver les installation industrielles
  • Lutte contre l’envol des particules de minerai pour le stockage industriel à l’air libre ou confiné
  • Développer des brises-vent efficaces
  • Limiter l’ensablement des espaces urbains et le traitement du sable pollué aux hydrocarbures
Quantification des effets d’érosion et de déplacement du sable à l’échelle d’une plage

Par défaut, les traces de particules sont le chemin qu’une particule sans masse prendrait lorsqu’elle serait libérée dans le flux. Notre technique de modélisation physique du sable consiste à inclure les effets de la masse sur la particule (sable, poussière…). La trace qui en résulte se comporte plus comme une substance physique dans un système d’écoulement.

Les effets d’inertie et de traînée sont pris en compte et si une particule a trop d’inertie pour tourner un coin par exemple, elle poursuivra son chemin.

D’autre part, les particules de type massique rebondissent lorsqu’elles frappent un mur ou d’autre particule de sable. La quantité de rebond est définie d’après le coefficient de restitution.

Celui-ci est spécifié pour contrôler dans notre moteur de calcul afin de quantifier la quantité de transfert d’énergie de rebonds dans une collision.

Ainsi, pour nos études chaque particule de sable simulé est soumise aux effets de poids (densité des grains de sable), de forme (diamètre moyen de particule) et de rebond (sous forme de coefficient de restitution).